Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/236

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avait cependant une bien plus grande expérience.

Le comte avait pris un appartement à Turin pour l’hiver et, trouvant en sa fille-sœur une élève aussi docile, il voulut organiser une partie carrée pour continuer ces délicieuses orgies.

Son enfant était le fruit charmant d’un double inceste et promettait de devenir une femme ravissante. Son mont de Vénus était très proéminent, et les lèvres saillantes de son cher petit con excitaient déjà à la luxure. Le comte espérait pouvoir encore la foutre plus tard et me promit de me faire participer à ce bonheur quand le temps serait venu.

Je puis ajouter ici qu’il l’avait toujours avec lui dans le lit avec sa mère, et tous les matins il la prenait dans son bain.

Elle grandit en se développant admirablement. Il gamahucha son con ravi entre sept et huit ans ; à huit ans il commença à lui frotter son clitoris avec sa pine, et à neuf ans il l’avait graduellement assez large pour enfoncer dans son joli petit con sa pine toute entière et décharger dedans.

Nous restâmes en relations ensemble pendant très longtemps, et il me disait toujours qu’il mettait en pratique les leçons que lui avait données ma chère Florence, quand elle nous raconta les incidents de ses jeunes années pendant lesquelles elle avait été graduellement violée par son père.

Je raconterai cette histoire plus tard afin de pouvoir décrire de suite le sort futur de cette magnifique enfant, dont nous jouîmes souvent, ma