Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/258

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Je déchargeai aussi copieusement en même temps que lui.

« Ayant une fois expérimenté les jouissances de la fouterie, le cher enfant me foutit cinq fois avant que je puisse le faire se retirer, et ce fut la crainte seule d’être découverts qui le décida à déconner. Nous nous caressâmes encore avec amour, je lui promis de venir tous les matins qu’il me serait possible, afin de ne pas être découverts. Lui persuadant que s’il voulait avoir d’autres répétitions des délicieuses leçons que je venais de lui enseigner, il était nécessaire de prendre de grandes précautions pour que le secret ne fût connu de personne ; je retournai alors dans ma chambre, enchantée outre mesure d’avoir prie un pucelage. Les femmes qui ont eu le bonheur d’une pareille bonne fortune peuvent seules comprendre les exquises voluptés qu’on éprouve à initier une pine vierge aux mystères de l’amour et combien nos cons en sont avides.

« Pendant plusieurs mois, nous continuâmes notre intimité sans être découverts ; mais à la fin, nous ne fûmes pas assez prudents, et mon père découvrit tout. Mon pauvre Henry se trouva heureusement tout excusé en prêtant son derrière à mon père pendant qu’il me foutait lui-même. Mon étreinte délicieuse lui permettait de supporter la grande et curieuse souffrance ainsi que le plaisir procurés par la première introduction dans cet étroit et délicieux chemin dédié au dieu de l’obscénité. Il fut à la fin initié à nos grandes orgies avec