Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/259

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mon père et le laquais. Cette introduction à nos orgies nous permit de combiner de nouvelles poses voluptueuses que ne peuvent pas faire une femme avec deux hommes.

« Mon père, qui vivait spécialement de son emploi, mourut et ne me laissa qu’un très petit capital qui revenait, à sa majorité, à mon cousin Henry auquel j’étais devenue éperduement attachée. C’était, à la vérité, mon premier amour, et j’avais toute l’ardeur de cette passion. Il avait quelque argent et nous vécûmes ensemble pendant deux années après, la mort de mon père, couchant secrètement ensemble dans le même lit.

« Les remontrances de quelques parents, qui sans se douter de l’intimité qui existait entre nous, nous firent comprendre ce que le monde dirait, penserait, etc., etc., m’engagèrent à chercher une situation d’institutrice, ce qui pouvait le mieux me convenir par suite de l’excellente instruction que m’avait donnée mon papa. Je compris la valeur du raisonnement et pensai aussi que j’augmenterais ainsi l’amour d’Henry pour moi. Mais le départ fut une rude épreuve. Il était devenu un magnifique jeune homme, avec une pine superbe, quoique bien inférieure à ce monstre. »

S’étant emparée de la mienne toute raide en ce moment, ne demandant que cet attouchement pour la renverser sur le lit et la foutre furieusement, tellement son récit nous avait excités.

Après cet épisode, elle termina son récit en nous disant que sa manière d’enseigner lui avait très