Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/68

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vu quelle immense pine il a et aussi avec quel plaisir vous vous enfiliez ; aussi la curiosité me poussa à le posséder un jour dans le pavillon d’été, et depuis il a souvent couché avec moi.

— Est-ce que la femme du pasteur se doute de quelque chose ?

— Oh ! oui, elle sait tout. J’avais oublié de fermer la porte à clef une nuit ; au matin, Charles fit trop de bruit, elle entra presque en chemise, courut vers nous et le délogea, ne s’imaginant courir aucun risque. Charles la saisit dans ses bras, jurant qu’il allait lui en faire autant pour l’empêcher de bavarder. Elle fut épouvantée, courut vers sa propre chambre, mais elle n’eut pas le temps de l’empêcher d’y pénétrer avec elle ; elle courut à son lit, voulant sonner pour un domestique, il la saisit au moment où elle avait déjà un genou sur le lit et l’enfila par derrière avant qu’elle ait pu atteindre la sonnette. Elle m’appela pour venir le faire sortir. J’arrivai, mais je lui dis que Charles avait raison, car cela l’empêcherait de bavarder sur nous. Je crois vraiment que l’énorme pine de Charles lui faisait bien plaisir, car elle cessa bientôt de se débattre, elle l’aidait même beaucoup en tortillant ses fesses, et de ses bras nerveux passés autour de sa taille, Charles l’empêchait de faire usage de ses mains. Elle pleura beaucoup ensuite, pensant à l’horreur d’un pareil crime ; elle était alors dans son lit où Charles l’avait suivie pour la consoler et la caresser, et naturellement l’enfiler à nouveau. À la manière