Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/117

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rance, ma chère fille, dit-il, j’entrerais dans un rat ; nous allons essayer d’une autre manière ; c’est cette monstrueuse pine dans votre con qui me bouche le chemin du temple secret des plaisirs délicieux. Retire-toi pour un moment, Charles.

Je déconnai ; alors il se plongea de suite jusqu’aux couilles dans le con, où il fit plusieurs mouvements pour l’exciter et lui faire oublier ses terreurs, car, ainsi qu’il nous le raconta plus tard, la principale difficulté provenait de l’opposition involontaire de Marie, qui serrait le trou du cul au lieu de l’ouvrir. Quand il pensa qu’elle était suffisamment excitée et qu’elle pouvait supposer qu’il allait continuer de la foutre jusqu’au bout dans le con, il retira subitement les deux doigts qu’il avait enfoncés dans son derrière, y substitua sa pine, et avant que Marie put se rendre compte de ce qui lui arrivait, il en avait introduit plus de la moitié dans son trou du cul.

Elle poussa un cri étouffé, mais tenue par les hanches par notre ami et maintenue autour de la taille par moi qui avait deviné