Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/119

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molle de l’étroit réduit où elle avait éprouvé d’aussi exquises jouissances ; il nous dit que nous devions nous contenter de cela pour aujourd’hui, surtout parce qu’il avait dans sa tête formé un plan pour le lendemain, pour lequel nous aurions besoin de toute notre vigueur.

Aussi quand nous fûmes arrivés en vue du village, pas assez près pour être entendus, de manière à ne pas attirer la défiance en allant trop loin, Mac Callum nous informa que le lendemain après-midi, nous nous rendrions à sa petite maison au lieu de nous rencontrer dans les rochers, où nous pourrions nous mettre complètement nus et faire une grande orgie de délicieuses jouissances. Nous approuvâmes son idée de grand cœur, et après une amusante conversation, nous nous séparâmes en nous donnant rendez-vous pour le lendemain sur la plage, mais dans la direction opposée à celle des rochers, avec l’intention de nous approcher le plus possible de sa maison, du côté où on ne pourrait pas nous voir arriver.

Le lendemain après dîner, nous partîmes