Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/48

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fente. Je fis donc ainsi et il m’a semblé que cela a ajouté à votre excitement, si j’en juge par les pressions convulsives extraordinaires que vous avez données à mon doigt quand vous mourûtes dans l’agonie de notre finale jouissance.

— Dites-moi, ma bien-aimée Aline, cela a-t-il augmenté votre bonheur autant que je me le suis imaginé ?

— Oui, mon cher Charles, à ma grande surprise je dois confesser qu’il en fut ainsi ; cela parut me faire éprouver un plaisir final presque trop excitant pour pouvoir le supporter, et je puis seulement dire que c’est un heureux accident qui a augmenté ma jouissance, qu’il est impossible, je crois, de surpasser. Vilain garnement, je sens ton gros instrument qui est encore tout à fait raide, mais il faut te modérer, mon chéri, c’est assez pour cette nuit. Non, non, non ! je ne veux plus le laisser entrer.

Mettant sa main en bas, elle éloigna la tête de ma pine de la charmante entrée de son con, et commença à la manipuler et à la caresser avec une visible admiration pour sa raideur, sa grosseur et sa longueur. Ces