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Pour le moment elle avait un peu apaisé mon appétit charnel, elle m’embrassa donc tendrement et me laissa à mes rêves. Naturellement, pendant les quatre jours de repos, sauf deux visites passagères « pour me faire prendre patience » comme elle disait, je foutis et branlai mes deux sœurs qui furent enchantées et ravies de jouissances.

Je passai ainsi quatre mois pendant lesquels miss Aline devint une élève parfaite dans les délicieux mystères de l’amour ; mais quoique j’eusse essayé plusieurs fois de jouir du joli trou rose situé plus bas que le temple de Vénus, je n’avais jamais réussi complètement, car mon membre était trop gros et lui causait une trop grande souffrance, de sorte que j’étais le plus fidèle adorateur du temple le plus légitime de Vénus. Mes sœurs commençaient à se développer extraordinairement, Marie surtout. Les poils de son con étaient devenus abondants et frisés ; les hanches étaient larges, son derrière ferme et gros promettait de devenir très large. Elise aussi commençait à prendre de la poitrine ainsi qu’une motte large et mousseuse.