Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/58

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— Souvent, presque toujours, ma chère.

— Est-ce qu’elle aime ça ?

— Elle l’adore.

— Alors enfile-la moi de suite, Charles.

Je ne demandais pas mieux : je lui dis que pour jouir davantage elle devait se mettre toute nue. En une minute elle eut tout enlevé, pendant que je retirais mon pantalon, car j’avais déjà enlevé mon habit et mon gilet. J’avais apporté une serviette pour mettre sur le sopha sous son derrière, pour éviter les taches. Se tenant couchée sur le dos, le derrière près du bord, les jambes bien écartées, les pieds sur le sopha et ramenés près de son derrière, avec les genoux penchant à l’extérieur, elle était dans la situation la plus avantageuse pour l’opération que je projetais. Je mis par terre un coussin sur lequel je me mis à genoux, je sortis ma pine et me mis à bien la gamahucher à nouveau jusqu’à ce qu’elle s’écriât en déchargeant :

— Oh ! enfonce-la moi, Charles, je sens que je la désire.

Elle était déjà toute mouillée par ses précédentes décharges ainsi que par mon lé-