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d’une manière significative quand nous nous rencontrâmes dans la salle d’étude pour continuer nos leçons.

Pendant deux jours encore je jouis d’Elise toute seule ; à chaque nouvelle fouterie elle devenait de plus en plus habile pour donner ou recevoir le plaisir.

Le troisième jour, miss Aline me murmura « à ce soir » en me serrant la main à la dérobée. Elle vint, et nous jouîmes de toutes les manières que nous pûmes imaginer. J’eus encore le bonheur de contempler à nu toutes ses beautés, car il faisait grand jour quand elle se retira ; je l’avais gamahuchée deux fois et foutue cinq fois. Elle me permit cela en raison de mon long jeûne, mais me dit qu’à l’avenir je devais être plus modéré pour sa santé si ce n’était pas pour la mienne. Elle laissa passer trois nuits avant de revenir me voir. Je ne puis pas dire que je la regrettai, car maintenant que j’avais initié Elise aussi bien que Marie, nous nous plongions dans les plus grandes orgies, foutant et gamahuchant en même temps. D’abord nous commencions par en faire coucher une sur le dos prête à être foutue pen-