Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/114

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elle, m’embrassa, me pressa sur son sein en murmurant des paroles de tendresse. Naturellement, ma pine s’enflamma aussitôt ; mais pour l’empêcher de croire que c’était la luxure qui me faisait bander, je lui dis :

— Oh ! ma chère tante, j’ai bien besoin d’uriner, ma quéquette devient aussi dure que du bois quand je me retiens d’uriner ; touchez comme elle est devenue raide, voulez-vous me laisser aller me soulager ?

— Mon cher enfant, je vais aller avec toi et je déboutonnerai moi-même ton pantalon.

Nous nous dirigeâmes au milieu des arbres. De ses doigts agiles elle déboutonna mon pantalon et sortit mon énorme pine dans toute sa gloire. Heureusement, j’avais envie de pisser ; ma tante la tint pendant tout le temps que je me soulageais, et sa figure était toute rouge de désirs. Elle me fit remarquer comme elle était étonnamment grosse tout en la branlant doucement ; naturellement je bandais plus que jamais. Jetant mes bras autour de son cou, je lui demandai si elle ne voulait pas me soulager de la peine que me faisait éprouver cette excessive raideur.

— Certainement, mon cher garçon, viens avec moi dans le pavillon où personne ne pourra nous voir.

Nous entrâmes. Elle mit un coussin par terre pour mes genoux, s’étendit par terre sur le dos, releva ses jupons au-dessus de son ventre, faisant voir son con bien touffu et sa splendide fente rose,