Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/156

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ficulté aux articulations, mais je fis un léger effort et tout entra. Ma tante s’était un peu tortillée me demandant ce que je faisais, je la mis au courant.

— Est-ce que tout est entré, mon chéri ?

— Oui, tante.

Serrant alors très fortement à l’intérieur, elle s’écria :

— Oh ! comme c’est bon, pousse plus avant.

J’avançai assez pour sentir le fond de sa matrice où on aurait dit que se trouvaient trois doigts sans ongles. Ma tante me demanda si je pouvais fermer le poing où j’étais ; je n’eus aucune difficulté pour le faire, car je me trouvai dans la partie la plus large de sa matrice.

Ma tante me cria alors :

— Mon cher enfant, c’est délicieux, pousse encore davantage.

Je fis ainsi qu’elle le désirait, faisant aller et venir ma main. Elle tortillait son splendide derrière et avant que je n’eus fait une douzaine de mouvements, elle déchargea sur mon bras et sur ma main un torrent de foutre brûlant et s’évanouit en poussant un cri de jouissance. Ses bras et ses jambes se détendirent et elle resta presque insensible, quoique serrant d’une manière incroyable mon bras et mon poignet. Sachant combien elle aimait que, dans ce moment, on continuât ce mouvement, j’allais et venais doucement. Elle reprit vite connaissance et secondant mes mouvements, elle entra dans toute la fureur de sa luxure, accompagnant de cris d’excitement, demandant d’activer les mou-