Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/162

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tante, je le logeai aussi loin qu’il put aller, recommençant encore une active opération qui continua jusqu’au moment où ma tante déchargea encore une fois. Je ne bougeai plus, sans cela j’aurais aussi déchargé moi-même.

Restant derrière elle, je pris sa main dans la mienne et me mis à lui branler le clitoris, ce qui excita à nouveau ses passions et lui fit opérer des mouvements voluptueux que je secondai jusqu’au moment où la grande crise nous saisit tous deux ; nous l’annonçâmes par des cris de joie, nous déchargeâmes et nous tombâmes tous deux de côté sur le plancher comme morts de plaisir, notre lubricité étant satisfaite. Nous restâmes là tout à fait sans forces pendant un certain temps. À la fin ma tante me pria de déculer et me demanda de me lever.

— Il faut que je te purifie, mon chéri, comme tu m’as purifiée toi-même.

Et saisissant dans sa bouche ma pine molle elle se mit à la sucer pour la nettoyer, jusqu’au moment où elle commença à sentir les symptômes de la résurrection de la chair.

Elle se releva rapidement en me disant :

— Non, Charles, tu en as déjà trop fait ce soir, il faut aller te coucher, de manière à pouvoir jouir au moins d’une couple d’heures de bon sommeil.

Elle s’empara de ma chemise de nuit dont elle me couvrit, me conduisit à ma chambre et m’embrassa tendrement tout en me remerciant pour les