Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/176

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dans sa chambre privée, où, comme personne ne l’ignorait, c’était là qu’il fouettait pour les fautes très graves. Arrivé dans la chambre, seul avec le garçon, il ferma la porte à clef et, sortant d’un tiroir une grande verge de bouleau, il s’assit sur le sopha. Il appela le garçon près de lui et lui ordonna de déboutonner et laisser tomber son pantalon et de relever sa chemise jusqu’à la taille. Une fois cela fait, le pasteur dit :

— Maintenant, monsieur Dale, nous allons voir si cette verge refroidira vos idées d’aller toucher les parties secrètes de votre jolie cousine.

Le pauvre Dale n’avait jamais encore été puni si sévèrement que par la main de sa mère, et il tremblait à la vue de cette formidable verge qui menaçait son derrière ; cependant, malgré ses craintes, l’allusion aux parties secrètes de sa cousine, enflamma tellement son imagination que son vit banda immédiatement, au grand plaisir du pasteur, qui augura par là une plus grande félicité très prochainement. Le faisant tenir debout à son côté et réjouissant sa vue des jeunes charmes si délicieusement exposés devant ses yeux, il procéda ainsi :

— Ainsi, monsieur Dale, vous vous êtes offert, à ce qu’il paraît, le plaisir de voir et de toucher entre les jambes et les cuisses d’une jolie fille de quinze ans, votre cousine, je crois ?

— Oui, monsieur, murmura le garçon.

Les yeux du pasteur étaient fixés sur le membre raide et allongé du garçon, surveillant les palpi-