Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/184

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d’une manière pitoyable à cause des craintes que ressentait le jeune garçon.

— Ainsi voilà le petit coupable, dit-il en le prenant dans sa main, le serrant et le pressant doucement. Quelle méchante petite chose !

Le garçon ne pouvant s’empêcher de faire voir le plaisir que ces caresses lascives lui procuraient, se mit à sourire.

— Oh ! Monsieur, ne riez pas, il n’y a pas de quoi rire ; regardez (les montrant du doigt) les taches dégoûtantes que vous avez faites sur mon sopha. Je ne puis pas avoir mes meubles détériorés de cette manière, aussi si votre petit vit doit encore mal se comporter, je serai obligé de vous fouetter sur mes genoux ; d’abord, venez ici, quittez votre pantalon qui pend sur vos talons et qui vous gênerait. Maintenant asseyez-vous sur mes genoux et racontez-moi bien tout ce qui a rapport à cette vilaine petite affaire.

Il ouvrit sa robe de chambre, de sorte que les fesses nues du jeune homme furent en contact avec les grosses cuisses nues et velues du pasteur, dont le jeune homme sentait la pine s’allonger, quoique cette partie fût recouverte par la chemise.

Le pasteur s’emparant alors de la pine du jeune homme, qui bandait, lui demanda s’il s’était jamais aussi mal conduit avant la scène qui s’était passée avec sa jolie petite cousine.

— Non, monsieur, jamais. Je n’avais jamais