Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/186

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nues sur lesquelles il était couché. Le pasteur leva alors la verge en disant :

— Maintenant, monsieur, pour vous punir, je suis obligé de fouetter ce petit fessier, ferme et potelé, jusqu’à ce qu’il devienne entièrement rouge.

Vrsh ! Vrsh ! Il fit aller la verge, mais d’une manière moins vigoureuse que la première fois, cependant suffisamment pour obliger le garçon à se débattre en tous sens, frottant son vit contre les cuisses du pasteur, ce qui lui causait de telles jouissances que c’est à peine s’il sentait les coups. Sa chair jeune et chaude contre laquelle se frottait la grosse pine toute raide du pasteur, les amena rapidement tous deux à un plaisir délirant.

Le pasteur changea alors de position, il rapprocha le garçon plus près de son ventre, de manière à ce que sa grosse pine pût se mettre entre les cuisses du jeune Dale, frottant ses couilles contre les fesses pendant que la pine du garçon frottait contre le ventre du pasteur.

— Maintenant, dit le pasteur, je vous tiens comme il faut et vais vous apprendre à ne pas recommencer à l’avenir ces vilains jeux.

Vrsh ! Vrsh ! la verge continua à marcher, causant les plus délicieux mouvements au dos du jeune homme et à la pine en fureur du pasteur, et aussi à son propre petit vit qui se frottait contre le ventre du pasteur, leur procurant à tous deux un grand plaisir à chaque nouveau coup ; cependant, aucun d’eux n’avait encore déchargé. Les fesses du