Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/198

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— Arrêtez, arrêtez, jeune homme, vous voilà en train de jouer à de vilains jeux, mais il n’est pas encore temps de décharger. Levez-vous, nous allons tous nous mettre entièrement nus et je vous ferai voir comment on me fouettait quand j’allais à l’école. Charles, tiens-toi debout.

J’obéis et le pasteur me manipula la pine avec un plaisir évident, faisant remarquer au jeune Dale combien ses dimensions étaient bien plus grandes que la sienne.

— Maintenant retire-toi à la moitié du sopha. Dale, passez-lui votre bras autour de la taille et poussez ce charmant petit ami tout raide entre les fesses de Charles.

Charles, crache dans ta main et mouille les alentours du trou, et introduis avec ta main dans ta fente ce jeune vit frémissant.

J’obéis à ces ordres, et le jeune Dale éprouva tant de plaisir qu’il enfonça sa pine très loin.

— Maintenant, dit le pasteur, vous êtes bien « montés », comme nous avions l’habitude de dire, et, maintenant, je vais fouetter encore ces rondeurs fermes et jolies, et il les caressa lascivement avant de leur appliquer la fessée.

Vrsh ! Vrsh ! Vrsh ! Les coups pleuvaient, assez vigoureux pour obliger Dale à pousser son derrière d’arrière en avant et réciproquement. Le plaisir lui fit rapidement oublier la peine, ses passions étaient allumées, et il se plongea avec fureur dans le canal hors nature où il opérait. Je l’étreignais le plus possible, et il se mit à aller et venir