Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/20

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fices. Je le fis aussitôt, tandis qu’elle me suçait, tout en me donnant le postillon, maniant le bas de ma pine, ainsi que mes couilles, avec de gentilles titillations dont elle avait seule le secret, jusqu’à ce que, dans un excès de jouissance, nous déchargeâmes tous les deux dans la bouche l’un de l’autre un torrent de foutre que nous avalâmes mutuellement avec volupté.

Après cela, nous nous couchâmes pour bien nous caresser et embrasser avant de nous séparer.

Naturellement, cela excita tellement nos désirs qu’une bonne fouterie seule pouvait les soulager.

« Mon Charles chéri, dit-elle, ce sera vraiment le dernier coup. »

Je lui répondis que cela m’avait tellement excité de voir son magnifique derrière quand nous étions par terre, que j’étais désireux de la voir s’agenouiller et de l’enfiler par derrière.

Je pensais réellement la lui mettre dans le con, mais elle crut que j’en voulais à son trou du cul.

« Tu es vraiment un garçon étrange, dit-elle, qu’est-ce qui a pu te laisser supposer que tu pouvais enfoncer ton énorme affaire dans le trou de mon derrière ? mais, pour te dire la vérité, quand j’ai été bien foutue, j’aime assez à l’avoir dans ce chemin ; aussi, tu peux essayer, mais il faut aller bien doucement pour entrer. »

Je répondis :

« Je ne savais pas que je pouvais entrer ma pine dans ce petit trou, je voulais dire que je la mettrais dans votre con par derrière, mais, maintenant,