Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/205

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
204


souffrance comme la première fois qu’on lui avait pris la virginité de son trou du cul.

Ce fut ainsi que le jeune Dale fut initié à nos mystères, dont il devint plus tard un fervent adepte ; son introduction dans notre petit cercle intime ajouta beaucoup de variété à nos plaisirs et à nos orgies, car, comme on peut bien le supposer, ma lubrique tante se chargea avec délices de lui faire payer son premier tribut dans le véritable temple de notre sainte mère Vénus.

J’assistai à la séance que le pasteur devait soi-disant ignorer. Ce fut sur son ventre qu’il tira son premier coup, car la vue de cet immense et splendide con avait tellement excité le jeune Dale, que jamais encore elle n’avait été aussi grosse ni aussi raide. C’était surprenant de voir la manière dont son vit se développait de plus en plus chaque jour, au fur et à mesure qu’il prenait part à toutes sortes de jouissances.

Il enfila ma tante deux fois, et quoiqu’elle fût très lascive, il arriva toujours à décharger en même temps qu’elle ; je leur donnai le postillon à tous deux ; j’empêchai de nouveaux ébats jusqu’à ce que je puisse entrer moi-même dans le champ de bataille ; ma tante monta sur lui, livrant son ravissant derrière à toutes mes fantaisies ; nous tirâmes deux coups sans changer de position ; mais ma tante réclama elle-même mon énorme pine pour éteindre le feu qu’elle avait dans le con ; nous changeâmes aussitôt de position. Je m’étendis sur le dos et j’enfonçai dans le con velouté de ma tante