Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/235

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pas que c’est de nouveau très dur ; il faut encore me soulager de suite.

— Mon cher enfant, je serai toujours prête à le faire, mais cela doit être un secret sacré entre nous, sans cela il ne me sera plus possible de le faire.

On peut aisément supposer que mes protestations à ce sujet furent des plus violentes. Nous recommençâmes encore, encore et encore. Maman me déclara que j’étais un excellent élève. Quatre fois je fis couler dans Bon con avide et brûlant des torrents de foutre.

À la fin, elle me pria de la retirer, disant que cela nuirait à ma santé de le faire encore. Je déconnai donc et nous nous embrassâmes mutuellement avec passion. Je lui manifestai alors le désir de voir l’endroit qui m’avait donné ces joies célestes. Elle se prêta avec une aisance et une grâce admirable à ma curiosité enfantine ; elle quitta sa chemise, m’en fit faire autant, de manière à pouvoir admirer les beautés de nos formes.

Il n’y avait aucune exagération dans la grande admiration que j’éprouvai pour la beauté de ses formes ravissantes, mais je m’exprimai d’une manière naïve et innocente, ce qui la fit rire de bon cœur et la confirma dans son idée qu’elle était non seulement la première femme que je voyais nue, mais qu’elle était aussi la première que je connusse intimement ou qui m’eût fait connaître les plaisirs sensuels ; aussi sa joie était grande de penser qu’elle m’avait pria ma virginité et qu’elle avait