Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/249

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man ne revienne, je pensai qu’il était sage de me retirer dans ma chambre, persuadé que maintenant que le chemin était ouvert, avant peu de temps, sa nature lascive aidant, elle serait on ne peut plus friande de ce genre de sport. À la vérité, elle ne pouvait s’imaginer comment maman pouvait s’entrer ton énorme pine ; car me dit-elle ensuite, elle est aussi grosse que mon poignet et plus longue que la main, et cependant elle semblait glisser dans maman avec aisance et plaisir, « tandis que la tienne, mon pauvre Henry, qui n’est pas plus grosse que mes deux doigts et à peine un peu plus longue, m’a fait tant de mal ! » Je lui assurai que c’était seulement pour la première nuit et que si elle voulait baigner son con dans de-l’eau chaude deux ou trois fois dans la journée, et mettre avec son doigt, aussi loin qu’elle pouvait l’entrer, un peu de glycérine sur les endroits endoloris, elle verrait la nuit suivante qu’elle ne sentirait plus aucune peine et qu’elle aurait, au contraire, autant de plaisir que maman. Sur cet avis, je la laissai se reposer et regagnai ma chambre sans avoir été vu.

Nous nous entendîmes alors pour savoir ce que nous dirions au pasteur qui ne manquerait pas de nous interroger à ce sujet.

La villa de madame Dale ne faisait pas partie de notre paroisse, mais elle était venue à notre église, en partie pour enlever tout soupçon de l’esprit du pasteur et aussi pour le remercier de nous avoir permis de rester chez elle.