Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/259

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À moitié effrayée, désirant cependant essayer, elle changea de position et se mit à genoux. Je relevai bien ses jupons au-dessus de son dos, embrassant et caressant ses fesses rondes et fermes qui me promettaient un ravissement futur, je me courbai et léchai encore son jeune con en chaleur, tout couvert de jeunes poils petits, courts, frisés et soyeux ; puis, crachant une pleine bouche de salive sur la tête de ma pine pour bien la lubrifier, je l’en inondai depuis la tête jusqu’aux poils et l’approchai alors des lèvres entr’ouvertes. La frottant alors en bas et en haut et sur son clitoris, je l’excitai au dernier degré.

— Oh ! Charles chéri, cria-t-elle, essaye de faire entrer la tête et j’essayerai de la supporter.

J’étais trop heureux de la permission et en un clin, d’œil je fis entrer la tête entière, mais c’était vraiment trop étroit : je la retirai à moitié, puis là repoussai encore, et ayant répété cela cinq ou six fois, je m’aperçus que je gagnais du terrain.

— Oh ! cher Charles, c’est délicieux ! continue doucement !

Je continuai et je lui en avais déjà introduit plus de la moitié, quand elle jouit dans une agonie de plaisir, faisant couler délicieusement son chaud liquide sur ma pine ravie, donnant en même temps une telle poussée en arrière qui, se rencontrant avec une poussée en avant de ma part, me fit pénétrer d’un seul coup jusqu’aux couilles dans ce charmant petit con si étroit. Je sentais que j’occu-