Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/261

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
260

— Oh ! oui ! continue encore, Charles chéri, pousse, ne me ménage pas, c’est divin !

Elle remuait et soulevait son dos. Je la saisis par les hanches, favorisant ses mouvements en la tirant à droite et à gauche, en avant et en arrière. Nous nous remuions de plus en plus vite, jusqu’au moment où la crise nous saisit tous deux en même temps.

Elle serait certainement tombée sur le ventre, si avec mes bras je ne l’avais maintenue par les hanches, étroitement serrée, nos poils se touchant, avec ma pine enfoncée au fin fond de son con, sentant trois nerfs étreignant la tête de mon membre aussi fortement que pourraient le faire trois doigts, et s’ouvrant pour recevoir toute la décharge de mon foutre jusqu’à la dernière goutte.

Rien ne pouvait être plus délicieux, je la tenais serrée contre moi et je me sentais mourir de plaisir. À la fin, ne recevant pas de réponse à quelques paroles que je lui disais, je m’aperçus que la tendre fille s’était évanouie complètement et était complètement insensible, à part les étreintes convulsives que je sentais dans son con si étroit et si délicieux.

Voyant qu’elle ne revenait pas à elle, je retirai cependant ma pine encore toute raide ; un peu de foutre s’écoula, mais très peu. J’essuyai bien son con avec mon mouchoir et fus heureux de constater qu’il n’y avait pas la moindre trace de sang. Je la couchai doucement sur le dos, courus à un petit ruisseau et, prenant de l’eau dans mes deux