Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/265

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tait au dehors comme un vit de petit enfant, je le suçai de suite avec passion pendant que je branlais son con avec deux de mes doigts. De son côté, elle ne restait pas inactive, elle commença à jouer avec ma pine, décalottant et recalottant la tête, ce qui la fit de suite se redresser dans toute sa gloire. Alors devenant trop excitée pour continuer à l’admirer, elle la prit dans sa bouche et la suça, manipulant mes couilles d’une main et branlant de l’autre la base de mon vit. Je sentis alors ses doigta caresser et chatouiller le trou de mon cul. Elle retira ma pine de sa bouche et se reposa un moment ; puis elle approcha encore son doigt de mon fondement où elle l’enfonça aussi loin qu’elle put. Pendant son repos, elle avait sûrement mouillé son doigt avec sa salive pour lui permettre d’entrer plus facilement. J’étais ravi de voir qu’elle en arrivait elle-même à ce jeu, mais faisant l’ignorant, je suspendis mon travail pour lui demander ce qu’elle faisait à mon derrière pour me faire éprouver une telle jouissance.

— C’est mon doigt, mon Charles aimé, mon dernier mari était ravi quand je lui faisais cela, et il augmentait aussi beaucoup ma jouissance en me faisant la même chose.

— Faut-il te le faire, ma chère maman ?

— Oh ! oui, mon cher fils, mouille ton doigt d’abord, et ensuite fais-le aller et venir dans mon derrière comme tu l’as déjà fait dans mon con.

— Mais je crois que je peux le faire dans les