Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/276

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était peu probable qu’elle deviendrait enceinte maintenant.

— Cela paraîtrait probable, mon cher enfant, mais il prenait des précautions pour ne pas me faire d’enfant.

— Mais quelles précautions pouvait-il prendre ? Comment faisait-il ?

— Tu es un enfant bien curieux, mais je vais te le dire. Il avait l’habitude de le faire pendant très longtemps, me faisant décharger deux ou trois fois avant lui, et quand il sentait que ça venait pour lui, il se retirait, et comme sa pine était alors toute gluante de mon foutre, il la glissait dans mon derrière où il déchargeait aussitôt qu’il sentait que la tête était entrée.

— Est-ce que cela te faisait jouir, maman ?

— Avant de faire cela, il m’avait beaucoup excitée et m’avait fait décharger plusieurs fois ; mais à part une légère chatouille, je n’éprouvais pas beaucoup de plaisir, parce qu’il était tellement près de la crise finale, qu’il déchargeait aussitôt que la tête était dedans et qu’il n’en entrait pas davantage.

— Est-ce qu’il ne l’a jamais entrée tout entière ? Cela te faisait-il du plaisir ?

— Cela lui arrivait quelquefois quand il s’était retiré trop tôt de mon con ; dans ces occasions, il avait l’habitude de rester immobile, branlant mon clitoris jusqu’au moment où mes passions étaient de nouveau excitées, alors j’éprouvais un très grand plaisir, mais bien particulier.

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