Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/285

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nous endormîmes profondément. Elle me réveilla en m’embrassant et en manipulant ma pine déjà complètement raide. Elle se mit sur le dos et nous tirâmes deux coups des plus délicieux sans déconner. Je savais que si je me retirais, elle s’en irait. Cependant, elle accepta le second avec plaisir, car c’était le dernier jusqu’à ce que nous trouvions une nouvelle occasion de nous rencontrer. Aussi elle exerça toute sa merveilleuse science d’amour et ses mouvements étaient d’une étonnante agilité. Elle s’enroulait autour de moi comme un serpent. Nos bouches et nos langues n’étaient pas non plus inactives, et la crise finale fut d’une volupté impossible à décrire. J’insistai fortement pour une troisième course, mais nous avions déjà trop prolongé nos plaisirs, car nous entendions qu’on ouvrait les volets des fenêtres du rez-de-chaussée, aussi elle se sauva en me donnant de doux baisers de remerciement.

Je restai couché, pensant aux jouissances de cette nuit voluptueuse, puis me levai et m’habillai rapidement, car il nous fallait déjeuner et rentrer à la maison où nous étions attendus pour neuf heures. Cependant, après déjeuner, maman me mena dans son boudoir pour me donner quelques instructions.

Naturellement, nous ne fûmes pas plutôt entrés, que la poussant sur la table, je retroussai ses jupons sur son dos et la foutis vigoureusement par derrière. Elle m’en remercia très chaleureusement, quoique, prétendit-elle, ce n’était pas pour cela