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la verge. Elle m’aida de tout son pouvoir pour toutes les cochonneries que j’imaginai, et nous payâmes réellement six tributs à notre chère mère Vénus, presque sans interruption, car nous désirions tous deux être épuisés le plus vite possible, afin d’essayer le système de la fessée.

Nous restâmes quelques minutes tranquilles, puis miss Frankland essaya de m’exciter comme d’habitude, mais ma pine était trop rassasiée par les précédentes fouteries pour répondre de suite à son appel.

— Ah ! dit-elle d’une voix douce, je vois qu’elle a besoin de la verge. Préparez-vous, monsieur, et faites en sorte de ne pas faire de résistance, ou cela n’en sera que plus mauvais pour votre derrière.

Suivant son exemple, je commençai à demander pardon, promettant de mieux me conduire dans peu de temps, etc., etc. Mais elle fut inexorable et m’ordonna de m’étendre sur ses genoux. Me prenant alors par la taille, elle me donna deux ou trois coups vraiment douloureux, qui me firent me trémousser pendant un moment.

— Faites attention, monsieur, vous résistez et vous savez que votre punition sera plus sévère ai vous continuez.

— Pardonnez-moi, chère maîtresse, et je ne le ferai plus jamais.

— Nous verrons.

Elle m’appliqua trois coups assez vigoureux, mais pas trop cruels. Je ne bougeai pas.