Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/54

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tillon en introduisant deux doigts dans son petit orifice ; Elise postillonnerait Marie avec le doigt tout en la gamahuchant ; Marie m’enculerait avec le petit godmiché et branlerait le con d’Elise avec le plus gros. Il fut convenu que nous courrions deux courses ainsi groupés, avec cette petite variante, que la deuxième fois j’enfoncerais ma pine dans le cul de miss Frankland dont on remplirait le con avec un gros godmiché.

Aucun de nous n’était pressé d’arriver à la conclusion finale, nous voulions au contraire faire durer le plus longtemps possible cette délicieuse conjonction de nos corps. Nous tirâmes un coup ravissant et nous nous arrangeâmes pour décharger tous ensemble dans des transports de luxure et de volupté.

Malgré le plaisir de cette décharge finale, nous fîmes en sorte, comme c’était convenu, de conserver nos positions ; nos parties sexuelles palpitaient de plaisir ; nos passions furent bientôt rallumées, car jusqu’à présent elles n’avaient été que légèrement calmées, le petit changement convenu fut alors opéré, et je m’engloutis jusqu’aux couilles dans le délicieux trou du cul poilu de miss Frankland qui poussa un cri de joie quand elle sentit mon énorme pine s’enfoncer dans ses entrailles. Nous fîmes une légère pause pour lui permettre de savourer la volupté de cette introduction, sans cela elle aurait déchargé après deux ou trois mouvements de mon énorme braquemart. Nous procédâmes alors plus paresseusement, et après avoir ac-