Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/67

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Le jour fatal arriva enfin ; ma mère et mes deux sœurs allèrent à la ville à la rencontre de mon oncle et de ma tante, laissant miss Frankland et moi à nos études. On peut bien supposer que ce qui nous occupa fut l’amour et non la grammaire ; elle me témoigna une grande tendresse dont je ne l’aurais pas crue capable. M’embrassant tendrement et me pressant sur son sein, elle fondit en larmes, on aurait dit que son cœur était brisé, et elle laissa tomber sa tête sur mon épaule. J’essayai de la consoler du mieux que je pus, mais, ainsi qu’on le sait déjà, comme les pleurs d’une femme font un effet extraordinaire sur ma pine, je la plaçai dans sa main. Elle sourit au milieu de ses larmes, et instantanément abaissa sa tête vers le cher objet, l’embrassa, le suça et le branla jusqu’à ce qu’il déchargeât un flot de foutre dans sa bouche qu’elle avala avec bonheur, continuant de sucer jusqu’à ce qu’il ne restât plus une goutte. Se relevant alors pour me caresser encore, elle me dit :

— Oui, mon cher adoré, c’était le véritable moyen d’arrêter mes larmes, non seulement j’adore ta grosse pine, mais j’en suis arrivé à t’aimer, mon bien-aimé, plus que je n’ai jamais aimé dans ma vie. Tu es mon élève à moi, mentalement et corporellement. Tu vas bien me manquer et je regrette amèrement ton départ ; mais nous nous retrouverons encore, quoique jamais avec autant de facilité et de liberté que maintenant. Tu viendras passer tes vacances ici et nous en profiterons le plus possible. Je sens que le cher objet veut en-