Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/69

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Son teint était extraordinairement blanc et rose, ses bras énormes, mais bien faits, des pieds et des mains petits, gras et ronds. Elle avait près de quarante ans, mais en paraissait à peine trente-cinq. En un mot, c’était une belle femme à voir et à désirer. Elle m’embrassa tendrement, je lui rendis la pareille avec plaisir, et elle nous félicita tous sur notre fortune inattendue. La première introduction fut des plus agréables et je commençai à croire qu’en définitif je ne serais pas trop mal avec eux.

On nous permit de rester levés un peu plus tard que d’habitude et, comme ma tante était fatiguée par un jour et une nuit de voyage, ils furent heureux de suivre notre exemple presque immédiatement. J’avais à peine eu le temps de me déshabiller lorsque je les entendis entrer dans la chambre que miss Frankland leur avait cédée la veille. Cela avait ainsi été arrangé, et maintenant elle couchait comme auparavant dans la chambre de mes sœurs jusqu’au moment de notre départ. J’éteignis rapidement ma lumière, dans la crainte qu’ils ne l’aperçurent filtrer au travers de la fente que j’avais faite. Me mettant à genoux, je me mis à surveiller leurs actions.

La première chose que fit ma tante fut de se baisser sur le pot, juste en face de ma fente, et comme elle avait relevé ses jupes très haut, je pus voir qu’elle avait un mont de Vénus très proéminent, tout couvert de poils blonds et épais. Le jet de son urine était incroyable, on aurait dit une