Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/7

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quel nous tombâmes tous deux, elle sur le dos et moi sur elle. En un instant, je fus englouti jusqu’aux couilles dans son con brûlant et enflammé, et nous tirâmes un coup délicieux jusqu’au moment où nous fûmes tous deux anéantis par une décharge ravissante. Je restai un moment sur elle et, après nous être mutuellement bien caressés, elle me dit :

— Lève-toi, Charles, et mettons-nous tous deux dans le lit.

Nous avions eu une telle hâte que nous n’avions pas pris le temps de nous mettre dans le lit, nous étions couchés sur les couvertures.

Ma charmante compagne se leva aussi pour satisfaire un besoin naturel que j’avais interrompu en frappant à la porte.

Elle s’assit sur le pot de chambre et j’entendis le bruit d’un petit ruisseau.

Je m’écriai :

— Oh ! laissez-moi vous voir pisser par votre jolie petite fente.

Je jouais toujours le jeune innocent et ne me servais que des mots enfantins pour désigner les organes de la génération.

Elle se mit à rire, mais releva sa chemise, se souleva un peu au-dessus du pot ; aussi, approchant la lumière, j’eus une ravissante vue de son con bien ouvert laissant couler avec force un torrent d’eau chaude. Sa position laissait bien apercevoir la masse énorme de poils noirs et frisés qui couvraient toute la partie inférieure de sa magnifique fente,