Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/101

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berts ; c’est bien mal à vous d’agir ainsi, mais je ne puis m’empêcher de jouir. Voilà des années que je n’ai pas éprouvé pareille chose, mais vous me l’avez si bien mis que je ne désire qu’une chose, c’est que vous recommenciez. Changeons de position.

— Je veux bien, mais il faut que vous quittiez cette chemise gênante ou je ne déconne pas.

Comme sa lubricité était alors excitée, elle ne fit aucune objection, aussi je déconnai et nous nous tînmes debout ; elle passa sa chemise par-dessus sa tête et elle étala des formes bien plus belles que je n’aurais cru.

— Ma chère madame Nichols, quelles admirables formes vous possédez ! Laissez-moi vous serrer dans mes bras.

Elle le fit sans répugnance, se trouvant flattée par mes compliments. D’une main elle s’empara de ma pine, me serrant tendrement contre elle de son autre bras, pendant que je caressais d’une main son cul magnifique et de l’autre je pelotais une paire de tétons aussi durs et aussi fermes que ceux d’une jeunesse de dix-huit ans. Nos bouches se rencontrèrent dans un baiser passionné et nos langues se cherchèrent.

Alors elle dit :

— Vous m’avez rendue bien vilaine, aussi laissez-moi m’enfiler encore cette chère et monstrueuse pine.

Je répondis que je devais d’abord admirer ses beautés, spécialement son énorme et ravissant der-