Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/116

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joies sacrées et secrètes du second autel réservé à Priape ; en raison donc de ces circonstances et dû constant usage qu’avait fait de son cul son mari, qui possédait une très belle pine, l’initiation à la double jouissance la rendrait moins nerveuse que son amie Egerton, dont le trou du cul était moins habitué que le sien.

La douce Benson se prêta de suite à l’opération et nous seconda par son art à tortiller du cul et aussi par les délicieuses pressions de son con et de son cul ; jouissant de suite et plus rapidement que la Egerton, elle déchargea quatre fois avant que nos sens un peu plus paresseux nous permissent d’arriver à la grande crise finale, qui semblait stimuler la divine Benson à un point de luxure furieuse, qu’elle faisait voir par des paroles de la plus grossière obscénité ; nous criant de lui foutre nos pines plus vite et plus loin, nous appelant de tous les plus sales noms qu’elle put imaginer, et vociférant furieusement quand la finale décharge la saisit au moment où nous inondions l’intérieur de ses deux ouvertures d’un torrent de foutre. Elle tomba alors anéantie par les excès de jouissance que nous lui avions procurés, mais encore frémissante et palpitante du bonheur ressenti.

Nous demeurâmes longtemps dans le délicieux anéantissement d’excès aussi voluptueux.

La chère Benson exerçait ses délicieuses pressions par ses deux ouvertures, qui produisirent bientôt leurs effets habituels, et bientôt la chair donna des symptômes de résurrection aux joies mondaines