Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/122

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vieille femme, elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait.

Nous nous rencontrâmes là le lendemain, nous jetant dans les bras l’un de l’autre, et nous nous aidâmes mutuellement à nous déshabiller. Je tirai avec elle trois coups délicieux pendant lesquels la Benson déchargea sept fois, et nous pûmes alors faire une longue et agréable causette sur le vieux temps. Je lui racontai tout, comment la Vincent, mes sœurs, miss Frankland, ma tante, Mme Dale, comment toutes m’avaient cru innocent, recevant la première leçon de leurs cons délicieux, et comment elles m’avaient donné de bons, de véritables et de sages conseils. Elle m’écoutait surprise et émerveillée, et excitée par mes descriptions lascives, elle interrompit trois fois mon récit pour se faire foutre et calmer le feu que j’avais allumé en lui parlant de toutes ces belles femmes. Je lui racontai aussi mes intrigues à mon domicile avec les deux nièces et la tante.

Ma description de cette dernière la rendit folle de luxure et produisit une autre excellente fouterie. Mais ensuite elle me dit que je devais trouver une autre place où Mme Egerton et elle, ou l’une ou l’autre, puissent venir me voir et être reçues sans être le sujet d’observations plus ou moins suspectes.

Je lui dis que je m’étais fait inscrire pour avoir une chambre dans l’intérieur du Palais de Justice et que j’espérais l’avoir dans une ou deux semaines. Cela lui fit grand plaisir, et on verra bientôt que