Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/151

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et tous aimaient à sentir la mienne dans leurs culs quand l’occasion s’en présentait.

L’hiver se passa rapidement au milieu de toutes ces délices.

Au printemps, la santé de monsieur Nixon empira et nous partîmes pour Naples où, par nécessité, nos jouissances amoureuses furent plus rares.

En mai, nous retournâmes en Angleterre, mais le pauvre monsieur Nixon était évidemment foutu. La Frankland me raconta que plus sa santé était mauvaise, plus il était passionné. Sa passion pour lui gamahucher le con s’était encore augmentée et sa pine semblait même reprendre plus de vigueur à mesure que la santé se retirait de son corps, car, chaque nuit, il la foutait dans le con et, le matin, la faisant mettre à genoux, il l’enculait en caressant et admirant ses superbes fesses. Lui et elle sentaient qu’il se tuait, mais c’était plus fort que lui, et il déclara que si ça devait le tuer, il ne pourrait pas mourir d’une plus heureuse mort.

En effet, un mois après notre retour, il fut atteint d’une attaque d’apoplexie au moment où sa pine était engloutie jusqu’aux couilles dans le trou du cul de sa femme. Il vécut encore un mois après.

Il laissa sa fortune entière à sa femme, sauf un legs de 50.000 francs à chacune de mes sœurs, et un autre de 25.000 francs pour moi.

FIN