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LA VEUVE AMOUREUSE




Nous flânâmes trop longtemps en route et n’arrivâmes à l’école qu’à dix heures. Le pasteur nous ordonna sévèrement d’aller l’attendre à midi dans son cabinet particulier. Nous savions ce que cela signifiait : une bonne fessée, pendant que le pasteur se réjouirait au compte rendu de nos succès.

À midi nous entrâmes dans la chambre du pasteur, où il vint nous rejoindre immédiatement. Il nous gronda beaucoup d’être arrivés en retard, et nous dit qu’il avait l’intention de nous fouetter tous deux pour cette faute et probablement aussi pour les débauches qu’il supposait.

Nous vîmes immédiatement qu’il fallait nous résigner ; de temps en temps il aimait réellement à fouetter quelqu’un, et il n’y avait pas à douter qu’il était dans un de ces moments ; nous savions aussi que cela finirait par une orgie, quand nous l’aurions suffisamment excité par le récit détaillé de nos fouteries qui devaient certainement avoir eu lieu. Il nous fit déshabiller, et ayant décidé de commencer par Henry, il le fit monter sur mon dos. Quand tout fut prêt, il commença par appliquer sur le derrière d’Henry des coups véritablement très violents, en disant :