Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/163

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L’avidité voluptueuse de ma tante la fit décharger rapidement. Voyant cela, pendant qu’elle était dans l’extase de la décharge, il me retira de ses bras, heureusement assez à temps pour m’empêcher de décharger, ce qui aurait fait la quatrième fois de la journée. Ma tante aussi bien était alors plus à même d’entendre raison et d’émettre ses idées au sujet des combinaisons de jouissances.

Comme nous avions amené le comte à passer huit jours avec nous, nous étions juste quatre pines contre quatre cons ; de sorte que nous pouvions nous accoupler d’abord tous, car il était nécessaire, par une première fouterie, d’amener les passions des femmes à un état de luxure effrénée pour qu’elles puissent nous procurer les plus grands excès de délices en donnant toute l’énergie de leur sauvage lubricité. Ma tante avait pris une belle passion pour le comte durant son séjour à Londres pendant l’automne.

Mon oncle était plus amoureux de la lascive Frankland, je choisis immédiatement la lubrique Dale, qui était aussi avide de reposséder ma pine, qu’elle était si fermement convaincue d’avoir initiée à toutes les joies du con, et nous tirâmes un coup des plus exquis qui les firent décharger fréquemment et copieusement.

Henry était aussi heureux de s’accoupler avec sa jolie cousine, dont il avait certainement pris le pucelage.