Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/215

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mais en apprenant qu’il était bien supérieur à un domestique, il consentit à son introduction.

Après l’avoir vu et admiré, ils exprimèrent leur entière satisfaction à l’idée de la faire entrer dans nos réunions, car tous deux, monsieur et madame, aimèrent à se faire enculer par lui. Nous pouvions maintenant foutre les deux femmes en même temps, et nous pouvions faire éprouver aux deux sexes le plaisir de la double jouissance sans avoir personne d’inoccupé.

Toutes les trois nuits ils couchaient à notre hôtel, et les nuits pour les passions entièrement à foutre de toutes les manières, en nous reposant quelquefois pour nous rafraîchir, nous laver et raconter des histoires cochonnes.

Nous menâmes cette existence pendant plus d’un mois, mais il était alors temps pour nous de nous diriger vers le Midi.

Nous nous séparâmes avec beaucoup de peine des Grandvit, mais nous leur promîmes de leur rendre visite au printemps à leur maison de campagne. Je puis dire déjà ici que nous tînmes notre promesse et que nous éprouvâmes les plus grandes jouissances pendant cette visite ; et, après un voyage de deux années, ils nous accompagnèrent dans un voyage en Allemagne où nous nous séparâmes de notre cher Carl ; il nous avait demandé la faveur de nous accompagner en Italie comme valet de chambre.

Il n’avait plus qu’un mois à rester à l’hôtel, il écrivit alors à son père que l’occasion se présen-