Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/220

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avoua que depuis son retour il avait enfilé sa sœur et qu’en ce moment elle se trouvait à Turin chez une accoucheuse et qu’il attendait à chaque courrier des nouvelles de sa délivrance. Nous le félicitâmes de ce délicieux inceste dès son retour dans son pays.

— Ah ! dit-il, c’est bien plus délicieux que vous ne croyez.

— Vraiment, comment cela ?

— Elle est non seulement ma sœur, mais ma propre fille.

— Quelle délicieuse idée ! m’écriai-je, comme tu as dû bander raide, quelle fouterie délicieuse cela a dû être pour toi ! Mais il a fallu que tu enfiles ta propre mère pour obtenir un pareil résultat. Raconte-nous cela, mon cher comte, cela rallumera notre vigueur, comme le fait toujours l’inceste.

Cette conversation avait lieu pendant une longue pause de notre nuit d’orgie ; nous étions assis bien tranquilles après nous être purifiés, restaurant nos forces avec du champagne et quelques légers rafraîchissements préparés par notre hôte pour la circonstance.

Nous avions déjà foutu pendant trois heures de toutes les manières, car nous étions tous frais et dispos, spécialement le comte, pour nous livrer à tous les excès, nous étions heureux d’avoir un peu de répit et nous écoutâmes avec plaisir le récit du double inceste.

Comme il n’eut pas le temps de tout nous ra-