Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/23

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— Mon Dieu, Charles, je suis joliment content ; je te parie ce que tu voudras que j’aurai foutu ma mère avant de revenir. Tu sais combien j’aspire à entrer dans ce con ravissant qui m’a mis au monde ; quand j’ai entendu qu’elle m’emmenait avec elle, ma pine s’est mise à bander à en éclater.

Mon oncle était aussi très désireux d’enfiler Mme Dale, et ses désirs dans ce sens se trouvaient singulièrement favorisés par les arrangements convenus. La nuit suivante, comme j’étais couché avec lui et ma tante, pendant l’intervalle d’une gentille petite orgie où il m’avait enculé pendant que j’enculais moi-même ma tante, ne pouvant plus rien faire, il amena la conversation sur son futur voyage. Il exprima le plaisir qu’il ressentait de l’occasion qu’il allait avoir de satisfaire son désir et de posséder l’objet qu’il convoitait. Le vieux satyre fit aussi une allusion que cela lui donnerait l’occasion future de jouir des jeunes charmes de la nièce.

— Naturellement, toi et ma chère femme, vous vous arrangerez de manière à ce qu’elle ne soupçonne rien de notre entente à son sujet ; aussi laissez-moi vous suggérer une idée. Il faudrait que Charles se fasse surprendre par sa tante au moment où il commettra l’acte avec Ellen, qu’il s’empare de toi en te disant qu’afin que tu ne puisses pas raconter sa faute, il allait te faire participer de force à la scène ; tu devras t’échapper de ses bras, courir à ton lit où il devra t’attraper au moment où tu vas t’y glisser ; alors il poussera dans toi son énorme pine, tu crieras à l’aide et appelleras Ellen