Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/250

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
221


engloutie dans son cul et, petit à petit, elle arriva à aimer cela tellement que souvent elle se faisait enculer quatre ou cinq fois à sa grande satisfaction ; ce fut ainsi que son père put cueillir les premiers fruits de toutes les ouvertures de ce corps merveilleux.

Ce fut lui qui lui enseigna profondément la littérature classique aussi bien que les langues modernes, choisissant toujours des livres obscènes pour faire son éducation, tels que le Sueton en latin, Athénœus avec ses remarquables conversations en grec, appelant surtout son attention sur le chapitre de l’amour entre garçons, Boccace et Casté en italien (les éditions non châtrées), les aventures de Boccace et les mille autres livres obscènes français, avec les illustrations les plus excitantes de tous ces ouvrages et beaucoup d’autres encore. La lecture de tous ces ouvrages finissait toujours par une bonne fouterie, dans l’une ou l’autre de ses ouvertures, mettant en pratique les descriptions particulières qui étaient décrites.

Il déprava tellement son esprit qu’elle désira bientôt d’autres expériences que celles qu’il lui donnait, et chercha autour d’elle un aide-du-con. Elle le trouva d’abord dans leur jeune et beau laquais, qui se trouva non seulement discret, mais très bien membré et connaissant bien son affaire.

Ils passaient dans toutes sortes d’excès amoureux les heures que papa consacrait à la paroisse, riche et importante, dont il était le pasteur ; je lui