Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/252

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qu’au moment de sa mort, avait agi ainsi avec lui, il n’avait donc aucune fausse honte ; je lui sortais sa chemise et lui passais sa chemise de nuit, le regardant même pisser avant de se mettre au lit, où je le bordais et l’embrassais avant de le quitter.

« Naturellement, avec ma grande connaissance et pratique de l’art amoureux, je ne pouvais que regarder tous ses charmes amoureux, toujours à l’état de repos, mais qui promettaient dans l’avenir un extraordinaire développement.

« Un matin j’étais avide de le posséder, après avoir fait une orgie avec papa et le valet de pied, qui ne m’avaient pas entièrement rassasiée. J’avais envie d’aller trouver mon cousin Henry, de le réveiller et de le câliner, sachant qu’il se réveillerait probablement en bandant, comme c’est l’habitude pour les jeunes gens et les hommes.

« Je me glissai dans sa chambre et d’un seul coup d’œil, je vis, comme je m’y attendais, la proéminance incontestable que formait sa pine simplement recouverte d’un drap léger, j’enlevai doucement le drap et fus ravie de voir que son instrument, assez insignifiant à l’état de repos, avait une dimension très respectable quand il bandait, et assurément très capable de satisfaire n’importe quelle femme par son incroyable dureté. Je le pris doucement dans ma main pour le sentir, il palpita sous mon attouchement, paraissant aussi raide qu’une barre de fer, mais d’un toucher semblable à du velours.