Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/29

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
18


d’Ellen, me demanda si je l’avais distraite, et nous dit de retourner à la maison où le lunch nous attendait. Nous obéîmes naturellement. D’un appétit féroce, produit par nos derniers exercices, nous fîmes honneur à un plantureux repas, et ma tante prenait bien soin de me faire boire beaucoup de champagne, car, comme on peut se l’imaginer, elle avait ses raisons pour cela. Elle m’ordonna ensuite d’aller dans ma chambre pour faire le devoir quotidien que mon oncle m’avait laissé et qu’elle était chargée de me faire faire.

Ellen, ma chère, dit-elle, vous devez pratiquer et étudier votre piano pendant une heure ou deux tous les jours.

Elle nous sépara ainsi. Je montai dans ma chambre, m’étendis sur mon lit et tombai dans un profond sommeil, mais, au bout d’une demi-heure, je fus réveillé par l’amoureuse étreinte de ma tante en chaleur. Elle se baissa et prenant dans sa bouche ma pine molle, et débandée, la fit rapidement raidir en la suçant suivant son habitude.

Aussitôt elle me pria de me lever et de me déshabiller ; elle était elle-même venue dans une lâche robe de chambre, elle la jeta loin d’elle et monta sur le lit, où elle se coucha entièrement nue, montrant complètement toutes ses ravissantes formes. J’étais aussi entièrement nu ; mais sachant qu’elle désirait une très longue fouterie, je me jetai sur son con et la gamahuchai, la faisant décharger deux fois avant de monter sur elle et