Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/37

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avant, me saisit par le bras et, facilitée par ma bonne volonté, me jeta hors du lit en disant :

— Je suis scandalisée au dernier point. Quelle horreur ! Comment as-tu pu commettre une telle faute et un tel crime de séduire une jeune fille qui est sous ma garde ? Couvrez-vous de suite, monsieur, et rentrez dans votre chambre.

Je répondis hardiment que je n’en ferais rien, mais qu’au contraire, comme elle avait troublé mon plaisir avec Ellen, j’étais décidé à le prendre avec elle.

— Comment osez-vous me parler ainsi, vilain garnement !

— Pas si vilain que cela, chère tante, regardez cette pauvre affaire muette, comme elle a envie d’entrer dans vous.

En disant cela, je la saisis par le bras comme pour la jeter sur le lit ; elle fit semblant de se débattre, tout en serrant tendrement dans sa main ma pine enflammée ; s’échappant alors, elle courut à sa chambre, essayant de me fermer la porte au nez, mais faisant en sorte de ne pas réussir, et se hâta de courir vers son lit. Je l’attrapai juste au moment où elle se baissait pour entrer dedans, et relevant sa chemise, le seul vêtement qu’elle eût, j’enfonçai d’un seul coup ma pine jusqu’aux couilles dans son con avide et tout en feu. Elle jeta un cri et appela Ellen pour m’empêcher de la violer. Ellen arriva, mais sagement ne put faire autre chose que de regarder la manière dont je faisais voir que j’étais un homme.