Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/41

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dont je la savais si friande. Elle avait plongé sa tête sur l’oreiller, disant :

— C’est horrible ! c’est horrible !

Ellen vint se pencher sur le lit pour l’embrasser, lui conseillant de ne pas résister, mais de m’accepter de bonne volonté, l’assurant qu’elle jouirait extraordinairement.

— C’est justement là ce qui m’horrifie, ma chère, car je n’ai jamais de ma vie ressenti quelque chose d’aussi exquis, mais quel péché ! avec mon propre neveu, c’est un pur inceste. Oh ! c’est épouvantable !

— Qu’est-ce que cela fait ? chère tante, car je veux aussi vous appeler ma tante, parce que vous êtes si superbe et si aimable. Oh ! si vous saviez quel plaisir j’ai éprouvé de vous voir possédée par lui, vous êtes une si belle femme que je voudrais être un homme pour vous posséder aussi.

Elle caressait les splendides tétons de ma tante, à qui rien ne pouvait faire plus plaisir, et elle lui demandait de lui permettre d’en sucer un ; ma tante l’autorisa et fut ravie ; elle glissa alors sa main vers le con d’Ellen, qui ouvrit les cuisses, et se mit à la branler avec ses doigts.

— Ah ! ma chère, si vous saviez comme j’aimais, à votre âge, à m’amuser avec mon propre sexe, remplaçant les hommes par nos langues, et encore maintenant j’aurais du plaisir à lécher un joli petit con rose comme celui-ci, cela me ferait presque oublier ce que ce vilain garçon est en train de me faire.