Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/60

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
47

« La nuit suivante, sous prétexte de craindre de m’épuiser, elle me força à me retirer dans ma chambre après le deuxième coup et m’y enferma. Le pasteur m’avait déjà informé qu’elle l’avait prévenu de compter sur elle pour cette nuit, il me priait de bien la foutre d’abord, de manière à lécher mon foutre quand il la gamahucherait ; aussi je fis à peine de la résistance quand elle me dit qu’il était sage de me retirer dans ma chambre. Elle me promit de me laisser tirer un coup avant de me lever, mais ce coup fut converti en de copieuses décharges.

La nuit suivante, le pasteur prétexta d’avoir besoin de repos, car il se proposait de nous surprendre le matin. Pour lui faciliter sa tâche, je me levai pour pisser quand maman fut endormie ; je sortis le verrou de la porte, je secouai le pasteur pour le réveiller et je retournai me coucher. Je l’avais prévenu qu’au moment de la décharge je ferais plus de bruit que d’habitude ; il devait attendre assez longtemps après avoir entendu ce signal, comme pour avoir le temps de s’habiller un peu, et alors il devait entrer dans la chambre avec une lumière.

Maman dormait encore, il était environ quatre heures du matin. Je commençai à lui caresser ses belles fesses et, me glissant sous les couvertures, lui ouvris les cuisses (insensiblement elle se mit sur le dos), je pris son gros clitoris entre mes lèvres et me mis à le sucer, ce qui le fit de suite raidir. L’excitement la réveilla (elle rêvait que