Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/62

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cela ne m’offense nullement, je puis vous avouer de suite que ce fut ma propre mère qui m’initia à ces voluptueux mystères. Je vois que le pauvre garçon paraît terriblement effrayé de me voir le témoin des jouissances qu’il a dû éprouver, mais, pour le mettre à son aise, nous pouvons aussi lui avouer que nous avons déjà tous deux joué ensemble à ce gentil petit jeu. Je dois ajouter que ce n’est pas la première fois que je participe à une orgie avec plus d’un homme ou d’une femme, et rien ne me fait plus plaisir que d’étreindre dans mes bras une personne sortant des bras d’une autre, spécialement quand j’ai été témoin de leur plaisir. Regardez, chère madame, comme ce cher instrument se tient raide comme preuve de ce que j’avance, et pour s’assurer de mon silence, ce cher Henry ne s’opposera pas à ce que je jouisse de vous après lui et devant lui.

« En parlant ainsi, il quitta son pantalon et sauta dans le lit. Ma mère ne fit pas grande difficulté pour se le laisser mettre en présence de son fils, car je l’assurais que je préférais vraiment la voir opérer comme elle aimait plutôt qu’autrement, surtout parce qu’elle en éprouvait plus de jouissance.

« Le pasteur monta donc de suite sur elle, il n’y a pas de doute qu’elle jouit également beaucoup avec lui. Cette vue me fit raidir la pine que je mis dans sa main et qu’elle serra avec amour ; puis, me courbant, je lui suçai un téton, on sait combien cela l’excitait, je glissai ma main der-