Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/64

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une chambre séparée contenant un sofa confortable. Elle alla au numéro 1, portant seulement une large robe de chambre qu’elle quitta instantanément. C’était une créature admirablement bien faite, dont les charmes auraient enflammé n’importe qui. Elle tira rapidement deux coups avec le numéro 1 sans déconner ; puis, disant alors que son mari se mettait à sa recherche si elle ne se sauvait pas, elle sonna un domestique allemand, qui avait aussi l’habitude de la foutre lui-même et qui me confirma par la suite la véracité de cette histoire, pour faire sortir le monsieur de la chambre.

De là elle courait au numéro 2, lui disant qu’elle n’avait pu s’échapper qu’après avoir laissé tirer un coup à son mari, qui la croyait seulement sortie pour aller aux cabinets, qu’en conséquence il avait juste le temps de la foutre une fois et de s’en aller. Naturellement, ce con plein de foutre ne l’excitait que davantage, aussi il ne fut pas long à décharger et laissa la chambre libre pour les deux qui devaient venir à onze heures. Comme elle n’avait pas cinq minutes à perdre, elle courut au numéro 3 où l’attendait un autre fouteur. Elle lui raconta la même histoire qu’au numéro 2, mais comme il avait une pine énorme, elle tira deux coups avec lui et le congédia de la même manière que les autres. Elle courut vers tous les autres de la même manière, leur racontant la même histoire, tirant deux coups avec les trois derniers qui étaient les meilleurs fouteurs, et resta

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