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délicieuses nuits à foutre mes sœurs, maman et moi les conduisîmes à la pension et les y laissèrent après des adieux où les larmes coulèrent en abondance.

Ma mère devait rester à Londres une semaine encore, jusqu’au retour de mon oncle et de ma tante de leur tour sur le continent. J’arrivai rapidement à Paris. Nous prîmes des chambres voisines de nos deux chéries, et mon oncle et ma tante les occupèrent pendant la semaine qu’ils devaient encore rester avec nous.

Nous foutîmes maman et Ellen plusieurs fois dans une orgie générale, et elles venaient toutes les nuits coucher avec nous.

Mon oncle et ma tante nous quittèrent à la fin de la semaine, mais nous conservâmes leurs chambres, afin que nos chéries puissent venir vers nous se faire foutre autant que nous le pourrions.

On aurait dit que la grossesse les excitait encore davantage, car nous arrivions à peine à les satisfaire. À la fin, elles ne pouvaient plus se faire enfiler qu’en se mettant sur les mains et les genoux, quoiqu’aucune d’elles n’eût un trop gros ventre, mais, par contre, leurs hanches s’étaient extraordinairement développées. Celles de maman mesuraient un mètre de diamètre et ses fesses étaient presqu’aussi énormes que celles de ma tante. Elle adorait se faire enculer.

Nous les enfilâmes toutes les deux la nuit même où elles accouchèrent ; rien ne pouvait être plus heureux, car, leur vagin étant bien graissé de fou-