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Page:Le sphinx au foyer Bourotte 1883.djvu/168

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Et pendant qu’elle rêve, en haine des poètes,
Au rude Jean de …., son ascendant lointain,
Son père, un …. barbon d’apparences replètes,
Vide ….. sur ….. et fait seul un festin.


XXX

Ce serpent-là, messieurs, je ne le connais guère
Et m’en afflige peu !
Vous le distinguerez, pour lui faire la guerre,
À son habit noir-bleu.

J’en sais de fer, d’acier, d’argent, de chrysocale
Même d’or controuvé !
On la prétend de fleurs quand elle est nuptiale ;
Mais ….. ce n’est pas prouvé.

On trouve le petit chez mon apothicaire :
Je l’infuse et j’en bois.
Mais le grand ne produit aucun électuaire ;
C’est le géant des bois !

De rudes mains parfois, autour de la fournaise,
En forment les anneaux ;
Des doigts gantés de blanc, dans le quadrille, à l’aise,
S’y joignent en arceaux.